Ce matin, j'ai finalement décidé d'acheter l'huile de boîte ESSO GEAR 75W80 du constructeur Peugeot. Ma décision a été prise après de âpres discussions avec les vendeurs qui voyant ma plainte concentrée uniquement sur la 3eme vitesse ont tout de suite culpabilisé la syncro. Selon eux, comme les intervenants sur ce Forum, l'huile même divine ne fera pas de miracle!
J'ai pris acte de leur conviction et démarré la bagnole pour aller dans un lieu tranquille faire le travail. L'huile Total BV 75W80 GL-4+ mise il y a un peu plus d'une semaine était claire comme au moment où je l'avais mise. De plus, contrairement à la précédente vidange, j'ai inspecté le boulon de vidange et la tête creuse n'avait aucun dépôt métallique -- bon signe donc. La vieille huile a été recupérée.
Les derniers détails faits, j'ai pris la route pour aller apprécier un événtuel changement du comportement de la boîte en 3e. De 2 à 3, je n'ai ressenti aucune résistance, après de multiples essais. Me voilà confiant mais emporté aussi par une méditation sur ce que Peugeot via ESSO a bien mis dans son huile.
Comme j'étais en 5e j'ai retrogradé en 4e car je devais prendre une sortie. En 4e, j'ai voulu retrogradé en 3e et le levier revenait au point mort. J'ai retenté, et toujours le point mort. Et tout à coup, j'ai entendu un gand bruit et je me suis retrouvé projeté sur le parechoc de la voiture qui était devant moi. Sur le coup, j'ai eu l'impression que c'est ma boîte de vitese qui s'était désintégrée. Dépassé par les évenements, j'ai mis ma tête dans le volant avant que mon vis à vis n'accoure pour me demander si tout allait bien. Quand je lui ai demandé s'il y avait des dégâts, c'est lalors qu'il m'apprenait que c'est plutôt celui qui me suivait qui les a; ce dernier m'aurait alors projeté sur lui qui n'a rien eu.
Je suis immédiatement sorti pour voir la 406 derrière moi avec son capot et son parechoc déformés. Le pauvre avait heurté mon crochet d'attelage! Selon lui, tenant à peine sur ses deux jambes, la bouche dégageant l'alcool, "en changeant de file, j'ai confondu la pédale de frein avec celle de l'accélérateur". L'automobiliste que je suivais a jugé inutile de faire le constat car aucun dégât matériel n'était visible ni sur son parechoc ni sur le mien.
J'ai alors décidé de faire le constat avec celui qui me suivait. Dans une première réaction, il a refusé disant qu'il avait heurté mon crochet d'attelage, et non la voiture qui n'avait pas de dégât matériel visible.
Mais j'avais oublié que le demarrage de ma voiture était à code, lorsque voulant démarré précipitament on échouait à chaque fois. On a alors poussé la voiture pour libérer la voie. Et là , faire un constat était désormais indiscutable.
Nous avons convenu que ma voiture devait être examiné par un garagiste dès lundi et s'il y a un souci, l'auteur de l'accident a offert de régler lui-même car il ne souhaite pas que je dépose le constat à l'amiable chez mon assureur.
Malheureusement je me vois obligé de voir mon assureur car il est devenu impossible d'enclencher la 3e!
J'espère obtenir de vous quelques avis.
P.S.: Il me semble que les évenements qui nous arrivent sont liés. C'est dans mes habitudes de trop méditer. Tout récemment, il y a même un collègue qui a promis vouloir écrire un livre avec moi alors que je lui faisais part de ma vision sur la relation homme-femme.
Revenons à l'accident qui impliquait une Peugeot 406. En effet, je me suis rappelé que ma décision irréversible d'aller acheter l'huile Esso du fabriquant Peugeot, alors même qu'un membre de ce forum, Babcom87, m'en dissuadait et avec raison, venait de ce site :
http://www.pepon1.net/doc/peugeot/406/m ... fb0ik1.htmoĂą nous voyons bien Peugeot et le chiffre 406!
Notre vie ici-bas doit vraiment être commandée par des forces qui nous dépassent.